A Tunis, à l’aube de la révolution non-violente qui a fait chuter le président Ben Ali, Farah joue dans un groupe de rock contestataire. Tandis qu’elle chante avec toute l’énergie de la jeunesse, sa mère tente de la protéger en l’éloignant de la ville. Hélas, la police secrète la surveille déjà… Premier long-métrage de Leyla Bouzid, cinéaste tunisienne issue de la prestigieuse Fémis, «A peine j’ouvre les yeux» est une superbe ode à la liberté, truffée de scènes de concerts électrisantes.
de Leyla Bouzid
Tunisie/France/Belgique/Emirats arabes unis, 2015, 1h42